Les jeux vidéo rendent notre cerveau plus efficace

JE LE SAVAIS LOL ...
Je vous laisse découvrir cet article que j ai lu ce matin (un peu long mais sympa)....

ON A PLUS D'EXCUSE .... IL FAUT JOUER ET ENCORE JOUER


Grâce à des études publiées auparavant, on sait que les jeux vidéo stimulent chez les joueurs, et particulièrement par le biais du FPS, une la vision périphérique. Toute cette zone autour du point focal de l'oeil est mise à contribution lorsque le joueur perçoit des objets dans sa périphérie sans avoir à déplacer son regard pour les identifier.
Cette affirmation se double maintenant d'un second rapport, rédigé par le Professeur Daphne Bavelier de l'Université de Rochester dans les domaines des Sciences Cognitives et Sciences du Cerveau. Après une vingtaine d'études, le Pr Bavelier a réalisé que les capacités acquises au contact des jeux vidéo se répercutaient dans d'autres tâches hors-jeu, et s'appliquaient à l'attention, la vitesse, la précision, et la faculté de faire plusieurs choses à la fois.Dans les capacités stimulées, on peut noter la sensibilité au contraste, qui permet de discerner les éléments dans des teintes de gris. Remerciez pour ça tous les jeux ultra-réalistes en camaieux de teintes déprimées dans lesquels on doit trier entre un arbre mort et un Locust.Le protocole pour définir si c'était une capacité acquise innée a nécessité des joueurs et non-joueurs, auxquels on a demandé de suivre un même stage de jeux vidéo pendant plusieurs semaines. Puis, pour les non-joueurs, interdiction de rejouer jusqu'au bilan visuel, quelques mois plus tard. En faisant cela, le Pr Bavelier a remarqué que non seulement leur sensibilité au contraste avait été améliorée, mais que même sans rejouer, elle persistait jusqu'à une durée de deux ans.

Mais ce n'est pas tout. Au cours d'autres tests, le Pr Bavelier a remarqué que les joueurs étaient plus concentrés sur les tâches qu'on leur donnait sans se laisser déranger par des perturbations extérieures, de même qu'ils assimilaient plus rapidement de l'information visuelle qu'on leur envoyait sans prévenir. Qui plus est, ils peuvent passer d'une tâche à l'autre plus rapidement, ce qui leur donne une meilleure aptitude au travail multi-tâches.

Parallèlement aux recherches du Pr Bavelier, le Professeur Jay Pratt, Psychologue à l'Université de Toronto a découvert que les jeux vidéo et la manipulation d'objets 3D procuraient aux femmes une forme d'entraînement qui les mettait au même niveau que les hommes dans le domaine de la cognition spatiale. En temps normal, les femmes sont moins bonnes que les hommes sur ce type de tests, mais après un stage de jeux d'action de 10 heures, leurs résultats étaient quasiment les mêmes que les hommes.

Le Pr Pratt a noté la même amélioration pour la vision périphérique, traditionnellement plus active chez les hommes que chez les femmes. Selon lui, les jeux vidéo modifient notre manière d'apprendre, trouver et intégrer de l'information nouvelle, ce qui confère aux joueurs une capacité à exploiter les variations de leur environnement en s'adaptant plus rapidement, ce dont leur comportement quotidien bénéficie, naturellement.

Cette "rééducation" cognitive a été mise en avant par Lauren Sergio de l'Université de York à Toronto, une neuroscientifique qui a comparé le cerveau des joueurs et celui des non-joueurs. Pour elle, la manière dont les joueurs assimilent l'information est similaire à celle des musiciens professionnels.

Cela signifie que pour opérer des gestes complexes et rapides, ils ne sollicitent pas autant leur cerveau que les autres, ce qui explique cette fluidité et cette simplicité dans leurs mouvements. Les joueurs utilisent ainsi principalement leur cortex frontal, une zone dédiée à l'attention et à la planification. A la stratégie, ou à la gestion des tâches, si vous préférez.Par contraste, les non-joueurs emploient leur cortex pariétal, qui se concentre sur les fonctions visuelles et spatiales. Pour vulgariser, la réaction psychomotrice des non-joeurs reste plus longtemps psycho avant de devenir motrice.

Les chercheurs s'accordent à dire, le Pr Bavelier en tête, que ces facultés pourraient être développées dès l'enfance, et que des jeux d'action, non-violents, pourraient permettre cette stimulation cérébrale.Le jeu vidéo deviendrait alors une forme de jeu d'éveil pour les grands, au même titre que les cubes développent la cognition spatiale avant la maternelle.

Tous ceux qui prétendaient que les jeux vidéo abrutissaient les enfants viennent de subir un méchant taquet en blouse blanche. Qu'ils tendent l'autre joue, les prochains rapports sur la dépendance arrivent bientôt.

Merci beaucoup pour cet article Don Quijot, cela faisait longtemps que j'attendais une étude qui démontre que les jeux vidéo ne rendent pas les joueurs "stupides".

Espérons que cela permettra au jeux vidéo d'être moins critiqués.

Grand merci Don quiqui pr cet article !
Long je te l accorde mais au final ça se lis tt seul !
Très intéressant !!!!

À mettre dans tte les mains !!!!!!!!

par contre je sais pas si ca marche pour les filles!!!!!

grrrrrrrrrrrrr
Tu savais que tu allais me faire traiter en écrivant ça !!!!
Oui oui !! je sais que tu rigole là, en ce moment devant ton pc !!

Alors sache mon ami que OUI le sexe faible (si bêtement appelé d'ailleur...) est également concerné par cette théorie.
Si tu avais si bien lu cet article, tu aurais retenu que :

"Parallèlement aux recherches du Professeur Bavelier, le Professeur Jay Pratt, Psychologue à l'Université de Toronto a découvert que les jeux vidéo et la manipulation d'objets 3D procuraient aux femmes une forme d'entraînement qui les mettait au même niveau que les hommes dans le domaine de la cognition spatiale. En temps normal, les femmes sont moins bonnes que les hommes sur ce type de tests, mais après un stage de jeux d'action de 10 heures, leurs résultats étaient quasiment les mêmes que les hommes."

Si le "Sexe Faible" ne te plait pas tu as aussi le "Beau Sexe" pour parler de ces demoiselles !